La presse en parle


France Info - Février 2010 - Interview de Francois Roux pour l'ouverture des Jeux Olympiques





 Le site de France 3 référence le site à l'occasion de la sortie de son documentaire sur Vancouver en décembre 2007.





 Commentaires d'un journaliste de Radio-Canada en juin 2006.


"Ton site est bien fait, beaucoup de contenu, c'est intéressant. Et j'ai appris des choses, même si je vis à Vancouver depuis Mars 2002, et au Canada depuis 7 ans! Tu as bien cerné les différences culturelles, j'espère que ça va servir à tous ceux qui veulent immigrer..."

Benoît Ferradini
Journaliste / Radio-Canada Vancouver



 Le site Vivre à l' étranger référence le site dans la section Vancouver en 2007.





 Le site monvoyageur.com référence le site dans la section Guide/Vancouver.




 Le site France-Expatriés référence le site et publie un article à cette occasion en décembre 2005.


"Saviez-vous que France-Expatriés dispose d'un réseau de plus de 150 correspondants à l'étranger. En complément de nos informations par pays et par ville, nos Français sur place vous livrent leur réalité du terrain. Ce mois-ci découvrez notre nouveau partenaire le site http://canada-vancouver.blogspot.com/ .
En 2004, 62.364 expatriés français étaient immatriculés au Canada. Chaque année,
3 000 français émigrent au Québec. L’expatriation au Québec ne pose pas de problème de langue. Par contre à Vancouver, il vous faudra parler anglais, la ville étant située en Colombie britannique, à l’extrême ouest du Canada.
Pour vous informer sur les modalités et les comportements à avoir, consultez le guide pratique de Vancouver. Le site a été conçu par un jeune ingénieur, qui vit à Vancouver depuis deux ans.

De quoi traite le site ?

La rubrique « Canada» est une présentation générale du pays. « Aperçu » est une vision globale du Canada, qui présente brièvement l’historique, la géographie et l’économie du pays.
« Les équivalences » traite du problème de reconnaissance des diplômes français au Canada et de la « réglementation » (notion inconnue en France) de certaines professions. Elles ne sont pas toujours en vigueur. En effet, certains emplois sont réglementés, pour l’exercer vous devez obtenir un permis. Les métiers comme ingénieurs ou infirmières nécessitent ce permis, ils sont peu accessibles aux étrangers (expatriés). Pour remédier à ce problème, la France tente de signer des accords (par exemple: le 21 octobre 99, elle a signé à Ottawa une reconnaissance des ingénieurs français au Canada). Vous trouverez à cette rubrique des liens directs avec des organismes spécialisés sur la question.
En cas de problème de santé, avez-vous les mêmes avantages au Canada qu’en France. En d’autre terme, le système santé canadien est-il différent du système français? En consultant la rubrique « Santé », vous pourrez visionner un vidéo- reportage de Radio-Canada, qui répond à plusieurs questions relatives aux hospitalisations, aux interventions chirurgicales...
« Expatriés » et « Choc culturel » traitent plus spécifiquement des émotions ressenties par les expatriés (la découverte du pays, le mal du pays engendré par la difficulté de se lier d’amitié avec les locaux ou de trouver un emploi). Ces rubriques constituent des appels à témoins, vous pouvez y témoigner, si vous êtes aussi expatrié au Canada.

La ville de « Vancouver » :

La rubrique « Les chiffres » présente la ville dans son ensemble avec des données géographiques, un aperçu historique et économique.
Avant de partir, vous devez impérativement lire Le guide pratique. Il vous renseigne sur le mode de fonctionnement administratif au Canada. Vous trouverez aussi des astuces économiques (pour payer moins cher votre ticket de bus, payer moins cher vos retraits d’argent, faire du sport, manger et téléphoner à bas prix). Le logement et le travail sont aussi des thèmes abordés dans cette rubrique.
La section « Tourisme » vous propose de nombreuses activités à réaliser à Vancouver. Selon vos goûts, vous pourrez choisir de visiter des musées, des galeries d’art, des jardins asiatiques. Pour les plus aventuriers, une ballade sur un pont suspendu (phobie du vide s’abstenir), des clubs de kayak de mers, des ballades en zodiac pour observer des mammifères marins sont proposées pour 100$ canadiens.
A quoi correspond 1$can ? La vie au Canada est-elle plus chère qu’en France ? En consultant la rubrique « Coût », vous trouverez les réponses à vos questions.
Quels vêtements, dois-je acheter pour partir au Canada ? N’ayez crainte, la solution est donnée dans « Météo ».
Le savoir-vivre est important pour l’intégration dans un pays. Il change selon les us et la culture du pays. Pour ne pas offenser un canadien ou paraître sans gêne, lisez « Culture », cela vous évitera quelques désagréments. Par exemple, pour dire bonjour, on se salue verbalement, attention surtout pas de bise ! Saviez-vous que pour accéder au statut de « girlfriend » ou « boyfriend », petit(e) ami(e), il existe une période d’essai.
Au fond d’une forêt, chaque jour, il coupe du bois pour réchauffer sa cabane ! Mais qui est-ce ? Beaucoup de gens ont encore cette image du canadien moyen. Cessons les préjugés, passez une journée avec des canadiens dans la rubrique « Gens ».
Vancouver est une ville très animée, beaucoup de festivals (musique, cinématographique) y ont lieu. La ville a même été choisie pour recevoir les jeux olympiques d’hiver en 2010. (« Manifestations »)

Alors rendez-vous sur Expatrié à Vancouver!"

Auteur: Sandrine Guedes
Article publié sur le site www.france-expatries.com en décembre 2005.
Statisques du site: 850 000 visites / mois , 3 500 abonnés à la newsletter du site !



 Le journal bilingue de Vancouver "La Source" publie un article sur le site en Janvier 2009.


Blog à part : canada-vancouver.blogspot.com

Lui, C’est François. Expatrié étudiant d’abord puis résident permanent ensuite, il est l’auteur d’un blog type « couteau suisse » sur la vie à Vancouver. Le hasard des choses a voulu cette rencontre. Au premier abord, il semble curieux, « up for anything », avec par moment une retenue peu commune trahie par un regard des plus bavards. Alors que nous arpentons Granville Street, François nous raconte son parcours. Il s’arrête, il n’a pas mangé, un premier stop pour un cheeseburger.

L’histoire du premier clic
Toute terre à ses pionniers. Chaque ville du monde a ses guides pour expatriés, papiers ou virtuels. Généralement bien pensé, un site ou un magazine est plus pertinent s’il est réalisé par un habitant, immergé dans la ville en question.
Vancouver, forte de 150 ans d’une rapide évolution, n’est pas encore maître de sa mue, notamment sur la toile Internet. C’est la réflexion faite par François, alors installé à Vancouver depuis quelques mois. Arrivé en 2004, ne trouvant pas de bonnes adresses où « un maximum d’informations pouvaient être regroupées », il a souhaité combler ce manque. De prime abord, ce fut un blog qui occupait son temps libre, résidu de ses études à UBC. Après deux ans de construction, bidouillage et une curiosité sans limite, François érige un blog complet, et commence à susciter l’intérêt de nombreux voyageurs.

Le créateur, la créature
En sortant du fastfood, François, finissant son cheeseburger, nous avoue qu’il aimerait faire quelque chose de plus complet, transposé son blog en site officiel.
Sur notre chemin, plus notre conversation avançait, plus les surprises nous éclairaient sur le routard que nous étions en train de suivre à tous les coins de rue.
Alors qu’il s’absenta de la ville quelques trois années, passées entre les Etats Unis et l’Australie, l’expatrié revint sur les terres de ses débuts pour découvrir avec étonnement que le site avait pris une ampleur considérable. Certainement vous-même avez pu plongez votre nez dans ces données et ce forum, qui délivrent des ressources infinies sur Vancouver.
A chaque rue que l’on traverse, il a une anecdote, une soirée, une bonne adresse pour des nouilles ou un burger. C’est exactement ça. Le site est basé sur un concept plus vrai que nature. L’histoire d’une ballade, où chaque aventure différente donne un angle nouveau à la cité de verres. Il s’est arrêté pour regarder les détails qui formalisent le tout et dit la vérité, l’unique. Des données chiffrées sur les précipitations sur l’année jusqu’au prix d’une baguette à Vancouver, il dresse un véritable état des lieux de la vie d’un expatrié à Vancouver.

Du consommable
Cet ingénieur de métier nous crédite également de quelques paragraphes sur les « gens » ou la « culture », qui transpirent de vérité, de vécu. Un après-midi avec une famille canadienne, des règles de société anglo-saxonnes ou même canadienne, les impressions sont multiples et sont la concentration d’un œil critique et d’une analyse pointue, que l’auteur se plait à aiguiser.
Plus qu’un couteau suisse de la toile, ce blog nous permet d’échanger des points de vue à travers un forum à l’instar des pvtistes, quoique plus compliqué dans son fonctionnement.
L’annuaire qui encourage les personnes à s’enregistrer sur le site constitue un carnet d’adresses encore à ses balbutiements. Malgré tout l’objectif est qu’il devienne fonctionnel d’ici « un an ou deux, lors de l’arrivée massive de francophones pour les JO 2010 ».
Au croisement de Robson et Granville, François s’arrête une nouvelles fois, pour prendre un chocolat chaud. Il en profite pour nous livrer une nouvelle exclusivité. Le Frenchy entrevoit de munir le site d’une feuille de route très succincte, téléchargeable, imprimable, avec les adresses utiles et les démarches essentielles à effectuer une fois sur le territoire Vancouverois.

Alors que nous terminons notre bout de chemin, nous y voyons plus clair. Le blog est à son image. Il y développe un sens pragmatique, et nous délivre un outil digne d’un adaptateur. Fondu dans la masse, comme il consomme des expériences à chaque coin de rue, François transcrit du vécu, de la réalité. Plus les années passent, plus le blog s’enrichit, et la perspective des Jeux Olympiques surligne l’utilité d’une telle entreprise. Le créateur avoue s’être pris au jeu, et promet des nouveautés pour asseoir sa suprématie sur la toile. En attendant, il doit nous laisser, il pense s’arrêter à ce chinois sur Bute pour prendre quelques nouilles. Sans doute une nouvelle adresse.

Odilon Desmoulins